Les années se suivent et se ressemblent : tout comme Estelle Nicolas l’an passé, Thomas Siret, du Mesnil-sur-Oger, a obtenu une note exceptionnelle, soit 600 points sur 600. « J’ai souhaité apprendre le greffage, car pour moi c’est un savoir-faire, qui s’est “perdu” dans le vignoble et il n’est plus enseigné en école de viticulture. Presque tous les…
Adapter le porte-greffe aux problématiques du terroir
Le choix d’un matériel végétal ne s’improvise pas. Celui-ci reste très dépendant du type de sol, de l’exposition de la parcelle et du cépage souhaité.