En Champagne, le bio entend rester dans la course 

Bien que la progression de la viticulture bio marque un peu le pas en 2023, les acteurs de cette filière ont des raisons d’espérer dans un monde meilleur. D’abord parce que la professionnalisation de l’ACB se poursuit, ensuite parce que les multiples actions menées portent leurs fruits. Enfin, parce que l’esprit partenarial dans lequel ils s’inscrivent doit leur permettre de « peser » davantage dans les débats. 

Temps de lecture : 3 minutes

Auteur : Philippe Schilde
© Philippe Schilde

Bien que la progression de la viticulture bio marque un peu le pas en 2023, les acteurs de cette filière ont des raisons d’espérer dans un monde meilleur. D’abord parce que la professionnalisation de l’ACB se poursuit, ensuite parce que les multiples actions menées portent leurs fruits. Enfin, parce que l’esprit partenarial dans lequel ils s’inscrivent doit leur permettre de « peser » davantage dans les débats.

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Un QG de campagne au cœur de Troyes

Si le siège social de l’ACB reste ancré à Reims (53 rue Vernouillet) dans les locaux de l’antenne rémoise de Bio en Grand Est, un local de travail a été ouvert à Troyes fin 2023, situé au 24 rue Turenne, mis à leur disposition par Vincent Couche, l’un des adhérents. Situé au plein cœur de la ville, ce véritable quartier général abrite les trois salariées permanentes (Anne Bisiaux, Emilie Brost et Eva Magloire) dévouées aux adhérents et à tout vigneron ayant besoin de leurs éclairages.

« C’est un lieu idéal pour nos réunions de travail et nos conseils d’administration. Nous y tenons des permanences adhérents tous les mercredis après-midi et des formations, mais nous y proposons aussi des rencontres avec le grand public. Se met en outre en place une bibliothèque participative utile à tous », déclare Jérôme Bourgeois, fier de voir la structure « se professionnaliser » de la sorte.  

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