Confusion sexuelle : un système de pose collective à maintenir

La nouvelle campagne de pose va bientôt débuter. Cette stratégie de lutte contre les tordeuses de la grappe, Eudémis et Cochylis, est depuis de nombreuses années bien ancrée dans les coutumes champenoises. Cependant, avec l’extension des surfaces en traitement insecticide obligatoire dans le cadre de la lutte contre la flavescence dorée et son variant le plus épidémique, le M54, de nombreux opérateurs s’interrogent sur l’utilité du maintien de ce dispositif.

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Auteur : Anaëlle Comestaz, ODG

La nouvelle campagne de pose va bientôt débuter. Cette stratégie de lutte contre les tordeuses de la grappe, Eudémis et Cochylis, est depuis de nombreuses années bien ancrée dans les coutumes champenoises. Cependant, avec l’extension des surfaces en traitement insecticide obligatoire dans le cadre de la lutte contre la flavescence dorée et son variant le plus épidémique, le M54, de nombreux opérateurs s’interrogent sur l’utilité du maintien de ce dispositif.

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Rappel : dans le cadre de la certification VDC, la participation aux campagnes de confusion sexuelle est obligatoire.

C’est un des points critiques du Cahier des charges de l’AOC

« Point de contrôle n°24 : l’exploitant adhère aux démarches collectives de protection des vignes lorsqu’elles existent, qu’il s’agisse de lutte ou de mesures préventives. Il participe, en particulier, aux opérations de confusion sexuelle dès lors qu’une démarche est initiée au niveau local. »

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