Pour Pascal Doquet, « c’est le sol qui choisit son herbe »

Vigneron bio à Vertus, l’ancien président de l’Association des Champagnes Biologiques donne son point de vue sur la gestion de l’enherbement.

Temps de lecture : 2 minutes

Auteur : La Rédaction

Vigneron bio à Vertus, l’ancien président de l’Association des Champagnes Biologiques donne son point de vue sur la gestion de l’enherbement.

Cet article est réservé aux abonnés.

Un panel de solutions dans un contexte en évolution

Avec des hivers moins rigoureux et des niveaux d’humidité ou de sécheresse plus importants, la gestion de l’herbe dans la perspective d’un arrêt des solutions chimiques réclame une mutation profonde des pratiques d’entretien du sol dans le rang comme dans l’interrang.

Et la question des rendements, parfois compliquée à mettre en adéquation avec ces changements techniques, figure nécessairement dans la balance.

Quelles que soient les solutions retenues (couverts semés ou spontanés, travail du sol à la machine ou au cheval, désherbage électrique), un conseil reste valable : le danger réside dans un passage brutal du tout chimique au tout mécanique. « Il faut limiter les passages au début et se contenter d’un travail superficiel pour laisser le temps à la vigne de s’adapter », rappelle le Groupe de développement viticole de l’Aube.

Recherche

  • Par tranche de date

Recherches populaires :

Coopératives

Vendanges 2022

Oenotourisme

UNESCO

Viticulture durable

Plus d’articles

Remettre le couvert pour l’hiver

Depuis 2022, le cahier des charges de l’AOC Champagne précise que l’interrang doit désormais disposer d’un couvert végétal, spontané ou semé, du 30 novembre au 31 janvier de l’année suivante.

Vous souhaitez voir plus d'articles ?

Abonnez-vous

100% numérique

6€ / mois
72€ / 1 an

Numérique & magazine

80€ / 1 an
150€ / 2 ans

Magazine la Champagne Viticole