A l’instar du Printemps des champagnes, le ratafia lui aussi, bourgeonne

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C’est à l’Assiette Champenoise de Reims, sous le parrainage d’Arnaud Lallement que la première édition du Printemps des ratafias s’est déroulée le 16 avril dernier. Un p’tit rata ? Ce vilain petit canard souvent relégué en digestif d’un repas trop copieux ou d’un apéro qui l’est beaucoup moins. Quid d’une maltraitance d’un produit méconnu. Issu de…

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Pour la p’tite histoire

Historiquement, le nom de Ratafia a été donné à la boisson qui célébrait la ratification d’un traité. Il acquiert toutes ses lettres de noblesse en 1815, lors de la signature en Champagne, d’un traité en l’honneur de l’empereur Alexandre 1er de Russie, après la campagne de Russie. Le ratafia bénéficie d’une IGP depuis 2016, 190 vignerons en Champagne sont habilités à en produire. En 2016, ce sont 850 000 bouteilles qui sont sorties alors qu’on estime le potentiel de production à environ 15 millions de cols, soit 6 % de l’AOC Champagne.

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