« La commercialisation, c’est la finalité de notre métier ». Thibault Soyer, récoltant-manipulant à Chouilly, cultive 7 ha de vignes et commercialise entre 25 000 et 30 000 bouteilles par an. Il souhaiterait développer le potentiel commercial du domaine familial. « Avec la capacité de production que nous avons, l’idée serait de pouvoir augmenter les ventes en vue de mieux valoriser le…
Deux jeunes vignerons se lancent dans la vente
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Déposer sa marque… Pour quoi faire ?
« La marque constitue un passeport de commercialisation et un actif de valeur », affirme le cabinet de conseil juridique MIIP. Le SGV tenait une formation sur ce sujet, fin janvier à Épernay, pour en convaincre les vignerons.
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