Maxime veut appréhender la Champagne dans sa globalité
Maxime est l’un des administrateurs aubois du SGV.
Maxime, qui a très vite opté pour la viticulture raisonnée et durable, a obtenu la certification Terra Vitis en 2012. "Nos parents avaient déjà initié des choses avec l’appui du GDV. Nous avons suivi les évolutions en prenant soin de faire certifier la vigne autant que le vin", souligne ce garçon ayant le sens de l’engagement dans la continuité. A 16 ans, il était déjà membre du comité des fêtes de sa localité. Il n’a lâché l’association que onze ans plus tard. Entre temps, il a intégré le Groupe des Jeunes du Syndicat, incité à s’investir dans le collectif champenois par Joël Falmet. "J’y ai beaucoup appris en douze ans d’activité, notamment à l’occasion de nos voyages dans les vignobles. A la Saint-Vincent 2014 cette fois, c’est Michel Drappier qui m’a sollicité pour passer au syndicat aîné. Je viens d’y être réélu pour deux ans", annonce celui est devenu l’un des administrateurs aubois du SGV. "Cette responsabilité peut être chronophage quand on est situé dans la Côte des Bar, loin d’Epernay, mais elle est importante à mes yeux. Je crois qu’il faut sortir la tête de son exploitation pour être capable d’appréhender la Champagne, ses contraintes et ses réussites, dans la globalité", insiste-t-il. Quand il lui reste quelques trous dans son emploi du temps, ce passionné de golf file se détendre sur les greens.