Charlie Hebdo, 18 novembre 2015
Cinq jours après les attentats de Paris et Saint-Denis, l’équipe de Charlie Hebdo, qui s’y entend en terrorisme, a choisi le pied de nez pour réagir. Le dessin, signé Coco, en une de l’hebdomadaire satyrique, montre un homme bouteille de champagne à la main et flûte à la bouche. Troué de balles, le champagne coule et forme une flaque au sol. Mais il continuera de boire, comme pour illustrer un état d’esprit à la française, un hymne à la vie, une célébration sans fin. Le dessin se lit aussi comme un hommage aux victimes des attentats, au Bataclan, une salle de concert, à la terrasse des cafés et restaurants, et près d’un stade de foot.
Le 7 janvier 2015, Charlie Hebdo avait subi une attaque de terroristes qui avait fait 12 morts. Vendredi 13 novembre, le Bataclan, le restaurant Le Petit Cambodge, les bars Le Carillon, La Bonne Bière, La Belle Equipe, le Comptoir Voltaire, à Paris, établissements situés à proximité des locaux de Charlie Hebdo, et les abords du Stade de France à Saint-Denis, ont été visés par des terroristes qui ont fait, au 18 novembre, 129 morts et 352 blessés.
Réseau Matu : l’outil essentiel à la décision vendange
L’histoire de la Champagne s’écrit la plupart du temps au collectif pluriel. À partir du 12 août, des centaines de volontaires vont arpenter le vignoble pour collecter des données de maturation à destination du Réseau Matu et de son Portail collaboratif afin d’organiser au mieux la prochaine vendange.