En Champagne, un vigneron consacre 27 années de revenu net (de charges et d’impôts) pour couvrir les droits de succession. « C’est un progrès. Mais dans un vignoble avec un prix du foncier comme le nôtre, cela ne suffit pas », entame Maxime Toubart, vice-président de la Cnaoc et président du Syndicat général des vignerons (SGV)…
Le Service de remplacement se fait connaître
Dans l’Aisne, l’Aube ou la Marne, les solutions ne manquent pas pour soulager les exploitants agricoles et viticoles.