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Vigneron bio à Vertus, l’ancien président de l’Association des Champagnes Biologiques donne son point de vue sur la gestion de l’enherbement.
Avec des hivers moins rigoureux et des niveaux d’humidité ou de sécheresse plus importants, la gestion de l’herbe dans la perspective d’un arrêt des solutions chimiques réclame une mutation profonde des pratiques d’entretien du sol dans le rang comme dans l’interrang.
Et la question des rendements, parfois compliquée à mettre en adéquation avec ces changements techniques, figure nécessairement dans la balance.
Quelles que soient les solutions retenues (couverts semés ou spontanés, travail du sol à la machine ou au cheval, désherbage électrique), un conseil reste valable : le danger réside dans un passage brutal du tout chimique au tout mécanique. « Il faut limiter les passages au début et se contenter d’un travail superficiel pour laisser le temps à la vigne de s’adapter », rappelle le Groupe de développement viticole de l’Aube.
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Cette arrivée tardive dans les coteaux de Champagne fut certes bénéfique, car elle permit aux Champenois de bénéficier des connaissances et découvertes...
Après presque une décennie de travaux, les résultats du PNDV sont progressivement diffusés sur le terrain, et les interactions entre le monde de la recherche, les instituts techniques et les viticulteurs se multiplient.
Presque toutes les régions viticoles ont leur propre animateur dédié au Plan National Dépérissement du Vignoble (PNDV). Jérémy Follet, coordinateur des « Quinze du Plan » dans notre région pour le compte du Comité Champagne, décrit les missions du PNDV et son action sur le terrain.
Les sécateurs sont de sortie dans les vignes ! Pascal Doquet en profite pour présenter ses réflexions autour de la taille : entre tradition et méthodes émergentes, avec notamment le développement de la taille peu mutilante.
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