Toute la complexité des vins clairs

27/03/17

Temps de lecture : 2 minutes

Auteur :

La nouvelle édition du Printemps des champagne, du 22 au 26 avril 2017, proposera plus de 20 rendez-vous aux professionnels. Au menu : des bulles disponibles mais aussi, pour beaucoup d’associations de vignerons (elles sont 19) les vins clairs 2016. Un exercice pour le moins compliqué. Un œnologue et un vigneron nous éclairent. “Les vins clairs…

Cet article est réservé aux abonnés.

Trois questions à Charles Baffard, vigneron à Bassuet

Vous êtes membre du groupe Passion Chardonnay, dix vignerons qui accueilleront les professionnels au Conti (Reims, mardi 25 avril). Qu’allez-vous présenter ? Dans la continuité des salons précédents et pour avoir du recul, je présenterai à nouveau la parcelle Les Loges en vin clair. Mais nous ferons aussi déguster nos bulles, dont Fleur de craie, le splendide millésime 2008… et une surprise. Tenez-vous à cette présentation des vins clairs ? C’est important, au sein de notre groupe, pour appréhender les nuances de terroirs dans une globalité. Notre association regroupe ainsi une mosaïque de styles différents. Mais il faut aussi allier retenue et modestie, car les vins clairs sont tellement éloignés du résultat final, 5 ans après… Rien n’est acquis, rien n’est certain. Le lien entre vins clairs et bulles finales est complexe, pour ma part je travaille chaque année 25 à 30 échantillons. Allez-vous millésimer 2016 ? Ce millésime, très en retrait lors des premières dégustations, me surprend et me ravit de plus en plus. Il gagne en épaisseur, servi par un élevage sur lies. Mais à ce jour, je n’ai pas encore pris ma décision.

Recherche

  • Par tranche de date

Recherches populaires :

Coopératives

Vendanges 2022

Oenotourisme

UNESCO

Viticulture durable

Plus d’articles

Vous souhaitez voir plus d'articles ?

Abonnez-vous

100% numérique

6€ / mois
72€ / 1 an

Numérique & magazine

80€ / 1 an
150€ / 2 ans

Magazine la Champagne Viticole