Quel regard portez-vous sur les conclusions du Groupe à haut niveau ? Déjà, on ne peut que se réjouir de l’initiative de la Commission européenne de mettre en place ce Groupe à haut niveau et d’inclure les représentants de la filière...

Quel regard portez-vous sur les conclusions du Groupe à haut niveau ? Déjà, on ne peut que se réjouir de l’initiative de la Commission européenne de mettre en place ce Groupe à haut niveau et d’inclure les représentants de la filière...
Économie, droits de plantation, AOC, subventions, santé, étiquetage, phytosanitaires… nombre de dossiers cruciaux pour l’avenir de la viticulture passent nécessairement par la case Bruxelles. L’action du Syndicat Général des Vignerons pour défendre les intérêts du vignoble champenois mobilise les parlementaires européens notamment par le lobbying de la Fédération européenne des vins d’origine (Efow), dont Maxime Toubart est vice-président.
Quel premier bilan tirez-vous de ce scrutin européen ? Malgré la poussée des partis d’extrême droite dans certains pays, la majorité au Parlement européen...
À l’issue des élections européennes du 9 juin, la France semble perdre de son influence à Bruxelles et notamment au sein du PPE, le groupe le plus important du Parlement. Pour le Syndicat Général des Vignerons, l’avenir de la viticulture passe dorénavant par un renforcement de la collaboration entre les autres organisations viticoles européennes.
Réforme de la PAC, dérive hygiéniste ou encore protection des appellations : Maxime Toubart, président du SGV et vice-président d’Efow, a présenté le 20 mars à Bruxelles aux parlementaires européens les priorités de la filière viticole pour la prochaine législature européenne.
Riccardo Ricci Curbastro, viticulteur de l’AOC Franciacorta, a été élu président de la Fédération européenne des vins d’origine, qui défend les AOC auprès des institutions européennes.
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