Dossiers

Coiffe papier

Le champagne se coiffe de papier

Le champagne se coiffe de papier

Élément supplémentaire de la boîte à outils environnementale de la Champagne, la coiffe papier – intégralement recyclable et compostable – offre une alternative prometteuse au traditionnel aluminium.

Vipalux : « Une révolution est en marche »

Vipalux : « Une révolution est en marche »

Laurent Parizot est le directeur commercial et cofondateur de la société rémoise Vipalux, un des leaders mondiaux de la coiffe aluminium. En pleine crise Covid et sous l’impulsion du Syndicat Général des Vignerons qui cherche des alternatives écologiques au métal, il se laisse convaincre et lance les premiers essais de la coiffe papier.

« La coiffe papier, c’est l’avenir de la Champagne »

« La coiffe papier, c’est l’avenir de la Champagne »

Cédric Moussé est vigneron à Cuisles et administrateur du SGV. Très impliqué dans les démarches environnementales, il a eu un coup de cœur pour la coiffe papier dès sa présentation au salon Viti Vini 2022. Il participe à son élaboration avec Vipalux et devient l’un des pionniers à l’expérimenter en 2023 pour l’intégralité de sa gamme de champagnes, soit 100 000 bouteilles.

Plus de dossiers

L’épopée de la capsule de champagne

Le 5 juillet 1844, le négociant châlonnais Adolphe Jacquesson dépose une demande de brevet pour l’une de ses inventions : l’association de la capsule métallique et du muselet pour le bouchage des bouteilles de champagne.

Moins d’emballages pour moins de carbone dans la filière champagne

L’objectif du Net Zéro Carbone porté par la filière champagne à l’horizon 2050 ne pourra pas se dédouaner d’une adaptation des emballages, qui représentent actuellement un tiers de son empreinte carbone. Lors de l’assemblée annuelle de l’Association Viticole Champenoise, les experts du Comité Champagne ont prôné une approche systémique de l’écoconception.

Objectif ZAN : entre sobriété foncière et développement local

La loi du 22 août 2021, portant lutte contre le dérèglement climatique et le renforcement de la résilience face à ses effets (loi Climat-Résilience), entend adapter les règles d’urbanisme pour lutter contre l’étalement urbain en fixant le principe du « zéro artificialisation nette des sols » (ZAN) à l’horizon 2050.